Préparer l’organisation du travail de demain
La digitalisation, l’intelligence artificielle, la gestion des crises sanitaires et écologiques, ainsi que l’évolution des aspirations individuelles sont autant de facteurs qui interrogent les conditions d’emploi et du travail dans les décennies à venir. Quels ajustements et transformations seront nécessaires pour répondre à ces nouveaux défis ? Quels sont les futurs possibles pour le travail de demain ? C’est une question de prospective qui signifie “regarder en avant“. L’enjeu consiste à se mettre en mouvement vers un futur, qui par définition demeure incertain. Voilà pourquoi on parle au pluriel des “futurs possibles du travail“.
Se mettre en mouvement vers des futurs possibles, vers l’incertain, revient à passer continuellement d’un état à un autre, c’est ce qu’on appelle la “transition“. La transition est donc un voyage nécessaire vers une destination incertaine et éphémère.
Chez INTERLIENCE, accompagner la transition, c’est accompagner un changement de paradigme. C’est cheminer de la logique de gestion du risque vers l’idée que l’incertitude et l’imprévisibilité sont des opportunités d’évolution. La prospective devient la capacité à intégrer les aléas pour permettre la robustesse de son organisation.
Adapter sans s'épuiser
Si vous ressentez de la frustration, comme un sentiment d’épuisement à fournir toujours plus d’efforts pour atteindre l’objectif, il est grand temps d’essayer autrement.
À la faveur d’une nuit d’orage, prenez donc le temps de lever la tête !
N’est-il rien de plus puissant que ces arcs électriques qui fendent le ciel ? Et pourtant, à bien y regarder, on peut se demander pourquoi l’éclair ne choisit pas la route la plus directe en traçant une ligne parfaitement droite ?
De tous les chemins possibles, cette force de la nature choisira à coup sûr le chemin qui offre la moindre résistance : un maximum de mouvement pour un minimum d’énergie.
Comment cela se décline dans notre vie de tous les jours ?
Par analogie, imaginons un lac de montagne lisse et calme comme un miroir. Aucun mouvement détectable en sa surface. Je veux mettre cette eau en mouvement, au travail, pour faire tourner mon moulin.
Première possibilité, je me positionne au milieu du lac et je pousse l’eau pour la conduire jusqu’à un moulin à eau. Mon action fera naître une réaction de même intensité et de sens opposé. Je cours vers une dissipation certaine de mon énergie !
Deuxième possibilité, je creuse un canal aux bords du lac. Les molécules d’eau s’ordonneront d’elles-mêmes pour créer un mouvement qu’on nomme travail. Quant à moi, j’évite l’épuisement !
Inutile donc de “faire travailler“. Il s’agit de permettre les conditions attendues du travail, pour que rien ne vienne l’arrêter, le rendre compliqué. C’est une des conditions d’adaptation porteuse de résilience, là où INTERLIENCE vous accompagne.
Trouver des repères face à des événements antagonistes
En entreprise, quand l’une des parties avance la nécessité de changer pour s’adapter à un environnement dégradé, l’autre partie témoigne de la difficulté à changer dans ce même environnement.
En famille, quand un des membres avance la nécessité de changer pour s’épanouir, d’autres membres argueront des risques à lâcher la proie pour l’ombre tout en reconnaissant le besoin d’épanouissement. Alors même que les deux parties s’accordent sur un constat commun, se crée un rapport de forces où chacun essaie de convaincre l’autre du bien-fondé de sa position.
De cette situation, il n’en sortira qu’une forme d’immobilisme qui viendra freiner toute tentative de changement.
Par analogie, si un cycliste appuie en même temps sur les deux pédales de sa bicyclette, le mouvement s’arrête et il tombe. C’est parce que la jambe gauche et la jambe droite agissent “alternativement“ qu’il avance. En apparence opposées, ces deux forces forment en réalité un couple de forces.
Avec INTERLIENCE, être en capacité de transformer un rapport de forces en couple de forces, c’est modifier le mode interactionnel des forces existantes pour permettre le mouvement.
Développer de nouvelles compétences interactionnelles
Considérons une route permettant d’aller du point A au point B. Rien de plus simple ! Mais si cette route est bloquée ? Pour aller du point A au point B, on dira… “c’est compliqué“.
Considérons qu’une entreprise par souci de simplicité ne possède qu’un seul fournisseur. Mais si ce fournisseur est en rupture de stock ? Pour continuer à produire, l’entreprise dira… “c’est compliqué“. Quand vous entendez des parents dire “avec mon ado c’est compliqué“, la discussion, l’échange, le partage posent problème.
Que ce soit le mouvement des véhicules sur une route, le mouvement des matières premières pour l’approvisionnement ou le mouvement des échanges parents-enfants, dans ces trois cas, le constat est le même : le mouvement est empêché, arrêté.
Qu’aurait-il fallu pour préserver ces mouvements, qu’ils soient physiques ou informationnels ? Plus de routes, en vérité un véritable réseau. Un réseau, c’est une manière de tisser des liens, de construire des ponts, de rendre plus complexe pour faciliter les interactions.
Pour évoluer dans un environnement complexe, rien de compliqué, suffit de co-naitre ! INTERLIENCE vous éclaire dans cette co-naissance.