Le diagnostic
Comment ça marche pour que ça roule ? Pour INTERLIENCE, tout est question de mouvement !
Le diagnostic vise à comprendre les caractéristiques de votre fonctionnement dans les domaines cognitif et social lui permettant de se maintenir en mouvement, autrement dit, de faire preuve de résilience.
Le domaine cognitif est celui des modèles de pensée, des idées, des croyances, des valeurs et des connaissances propres à chacun.
Le domaine social est caractérisé par les interactions, la coopération, la synchronisation entre les parties prenantes et au sein de ces dernières.
En guise d’exemple, heureux le manager qui a une équipe soudée, un collectif de travail solidaire ! Il aura à cœur de défendre son équipe. Voulant défendre son équipe, il construira, « à l’insu de son plein gré », une nouvelle frontière : une frontière entre son équipe et les autres équipes. Pour faciliter la fluidité des interactions entre les équipes, il devra construire la coopération entre managers. De cette coopération, naîtra la classe managériale.
Or s’il y a « classe », il y a de fait une frontière, faisant, du groupe des managers, un système. Ce système managérial offrira la même complexité que celle rencontrée dans l’équipe des collaborateurs. A nouveau, il faudra permettre les conditions attendues de la coopération pour favoriser le mouvement inter-équipes. Cherchant la coopération au sein de la classe managériale, il faudra défendre cette classe créant alors une nouvelle frontière qui obligera à créer une coopération avec une autre classe, celle du CODIR qui à son tour interpellera le COMEX.
L’organisation du travail devient donc un moyen de permettre le mouvement du flux des informations (work flow) capable de circuler d’une frontière à l’autre. D’humain à humain, de collaborateur à collaborateur, d’équipe à équipe, de service à service, d’entreprise à clients…
En l’absence de prise en compte des fonctionnements spécifiques à votre organisation dans les domaines cognitif et social, même les stratégies de résilience les mieux pensées pourront s’avérer difficiles à mettre en œuvre. Cet obstacle est souvent qualifié de « résistance ou frein au changement ».
Pour INTERLIENCE, bien loin d’être un obstacle, cette « résistance » renseigne sur l’état de votre organisation et révèle les leviers possibles à mettre en œuvre pour accompagner le changement.
La formation
Vos expériences vous ont conduits à une certaine représentation de ce qu’il faut faire, dans telle ou telle situation, et pourquoi. C’est votre carte du monde. Elle fonctionne dans la très grande majorité des cas. Mais pas toujours. Alors malgré vos convictions, plus vous y mettez de force, plus la résistance s’accroit. Le système s’équilibre, il n’y a plus de mouvement.
La formation d’INTERLIENCE vise à mettre en place les conditions attendues du mouvement pour permettre une autre lecture de votre carte du monde. Pour cette exploration, nous vous apprendrons à utiliser de nouveaux points cardinaux que sont les principes qui régissent les systèmes vivants. Afin de nous adapter au mieux à vos spécificités, besoins et contraintes, nous procédons à un travail en amont de recueil d’information. Pour concevoir l’action, trois questions essentielles :
1- Qui former ?
Le profil des futurs apprenants, leurs attentes, leurs motivations ?
2- Pourquoi former ?
Quel est le contexte, quels sont les objectifs dans lesquels s’inscrit l’action de formation ?
3- Comment former ?
Quel est le dispositif de formation souhaité et adapté ?
La supervision
Savoir c’est bien, mais après ? La mise en mouvement initiée en formation est entretenue dans le cadre de la supervision. Elle permet d’encourager les allers-retours, entre anciennes et nouvelles façons d’agir, avec des temps d’expérimentation au sein de votre environnement et des temps de partage en individuel ou en groupe.
Chez INTERLIENCE, la supervision est donc un mouvement qui permet d’évoluer à la fois dans votre situation existante et vers une situation innovante. La supervision favorise la liberté d’aller et venir de l’une à l’autre. Ce mouvement s’appelle transition.
La supervision apparait comme une opportunité de bâtir de nouvelles passerelles vers d’autres champs du possible. C’est une invitation à explorer avec lucidité et prise de distance la manière de gérer différemment les situations complexes.
La supervision offre la possibilité de tirer les leçons de l’expérience, de mobiliser de nouvelles options et ressources et d’en intégrer les apprentissages.
INTERLIENCE propose trois types de supervision pour permettre une pause active :
• La supervision individuelle dans laquelle un superviseur va aider un supervisé à réfléchir à sa pratique et sa posture.
• La supervision de groupe dans laquelle l’élaboration se fait au sein d’un groupe dont les participants sont issus d’horizons différents.
• La supervision d’équipe qui s’opère au sein des entreprises ou institutions pour améliorer les inter-actions.